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 Présa I Love Tokio

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Date d'inscription : 07/05/2013

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MessageSujet: Présa I Love Tokio   Présa I Love Tokio EmptyMar 7 Mai - 2:10

Ikuta Izumi:


ma présentation ...

Mes parents m'ont appelé(e) Ikuta Chizue seulement depuis mon opération je me fais appeler Izumi mais mes proches me nomment Izu, Bitch ou autre surnom selon leur envie. Ah et si, mon boss m’appelle toujours Yôji. Apparemment c'était un ancien secrétaire qui avait réussi à lui faire retenir son prénom. Je suis né(e) un 11 juin 1988 à Tokyo, je suis donc d'origine japonaise. Je suis bisexuel et suis célibataire . Je travaille comme secrétaire pour le directeur en chef de Homme Officiel (ou plus précisément larbin et commis de service pour le boss) à Homme Officiel. On me dit souvent que je ressemble à Yamamoto Yusuke.



Mon histoire ...

"Parano dans les rues putain je parle seul, toxico au pognon je vais droit au cercueil en or s'il vous plaît je voudrais qu'on m'inhume mais j'ai les moyens que de la fosse commune."
/!\ Musique de Saez, contient du vocabulaire vulgaire pouvant choquer les plus sensibles/!\


C'est pas ma faute, je suis juste né dans le mauvais corps. Il y a eu une erreur de calcule et c'est avec un corps de fille que je suis sorti. Pourtant, c'est bien un garçon qui était à l'intérieur. J'ai toujours aimé ce qui était masculin, les barbies très peu pour moi. Au début, à part pour pisser, j'avais pas de problème et j'étais juste comme un garçon manqué. On disait souvent que ça passerait avec le temps, mais pourtant, ça n'est jamais passé. J'ai jamais aimé mon corps et j'ai fini par me replier sur moi-même en grandissant, délaissant mon apparence. J'ai rejeté les autres, honteux de ce que j'étais. Je ne voulais pas voir les autres, je ne voulais pas que l'on me voit. Je me suis enfermé dans une cage dont personne ne possédait la clé. C'est comme ça que j'ai vécu mon enfance et ma pré-adolescence, entre enfermement et rendez-vous chez le psy. Puis c'est devenu une évidence, j'avais un trouble de la perception des sexes. Ma famille dûe faire face et s'y résoudre : en moi j'étais bel et bien un homme et non un simple garçon manqué. Lorsqu'on m'annonça qu'une opération de changement de sexe était envisageable mon regard brilla d'une étincelle encore inconnu jusque là. Ma mère prit peur, je la dégoûtais je crois. Elle n'arrivait pas à admettre que son gosse n'était pas comme tous les autres. Mais moi j'étais heureux. J'allais enfin pouvoir me débarrasser de ce corps honteux, de ce corps dérangeant, de ce corps qui n'était pas le mien. On allait pouvoir modifier l'erreur de naissance, j'allais pouvoir avoir un corps d'homme. J'allais pouvoir être un homme à part entière. J'avais 15 ans.


15 ans et je commençais enfin à envisager de vivre. Mais c'était encore trop tôt pour les opérations et puis je n'avais pas l'accord de l'autorité parentale. Il était hors de question pour ma famille que je change. C'était pas mon corps qui devait être modifié, mais mon esprit. Ils renforcèrent mes séances chez le psy, celui-ci ne dit rien, il avait un bon pigeon. Mais il n'en restait pas moins que le bilan était le même : je ne pourrais jamais être une fille. Alors il essaye d'entrer en moi l'idée de vivre avec un corps différent de ce que j'étais en moi. Il me proposa des solutions comme me travestir, d'être une tomboy parmi tant d'autre, mais je ne pouvais m'y résoudre. Cette période, ce fut le plus dur. Les hurlements étaient devenus un véritable quotidien. Il ne se passait pas une journée sans qu'une dispute à propos de moi et de mon corps n'explose. C'était fatiguant, épuisant, mais je m'en fichais. Je traînais dans les rues le soir, je découvrais des choses déconseillées pour une ado, mais j'en avais rien à foutre, je me mettais juste mes parents un peu plus à dos. J'ai commencé l'alcool et la drogue, mais on me remit dans le droit chemin bien vite. Les sortis me furent supprimé, ma mère ne me lâcha plus d'une semelle et les portes de la maison verrouillées, je n'en possédais pas les clés pour m'évader.


Cet enfer dura 5 ans. 5 ans de ma vie qui me furent volés. Mais j'étais enfin majeur, j'allais enfin pouvoir dire mon mot. Mon psy fit les démarches pour que j'obtienne les autorisations, les médecins confirmèrent que ce n'étaient pas un caprice et la machine se mit en route. Mon séjour à l'hôpital dura un petit moment, il s'agissait après tout d'une opération lourde, mais une fois que je pus quitter l'établissement, je me sentis revivre. J'allais enfin pouvoir être moi sans avoir honte de mon corps. Bien sûr j'avais fait des études, bien sûr j'aurais dû trimer comme tous les autres dans cette société de consommation et en période de crise pour obtenir mon job, mais un bon piston et me voilà secrétaire. Je n'étais pas fait pour ça, j'avais une formation dans l'art et la littérature et pourtant je me retrouve à être derrière un bureau pour le directeur en chef du magazine Homme Officiel. Plus concrètement, mon boulot se résumait bien plus à celui d'un petit commis de service qui se doit de répondre à tous les caprices de son boss. Mais peu importe, on m'assurait un avenir brillant grâce à ce job. Et même si dans le futur je me voyais plus du genre glandeur je pris sur moi et obéit.


Perché sur mes talons aiguilles, seule trace de féminité que je ne pouvais me défaire je profitais de ce qui se présentait à moi. Je découvrais la vie, je découvrais la société et je cachais Chizue au monde, affichant Izumi. Parfois la jeune fille me rattrapait, mais jamais je ne lui laissais la possession de ce corps. J'en avais enfin fait le mien, il était hors de question de le lui rendre. Mais je ne devins pas un enfant sage pour autant. Rapidement j'appris à faire de mes dix doigts de véritable outils pour rhabiller les gens, savoir ce qui était tendance ou non. Je pris aussi conscience de la société et il était hors de question pour moi de me laisser faire. J'aurais pu finir comme un droguer, j'aurais pu devenir un premier de la classe, mais je préférais utiliser les relations. Je préférais utiliser ce que j'étais devenu pour appâter les gens et me faire choyer. Ainsi je serais à l'abri du besoin et toujours à la pointe de la mode. Une envie de Gucci ? Alors on appelle untel, il aura bien un peu d'argent de poche à dépenser pour son petit frère. Besoin d'un Ipad ? Alors on va voir cette jeune femme riche que l'on a repéré il y a quelque temps de cela pour l'obtenir. Un petit tour de passe-passe et voilà, l'affaire est jouée. Le pognon c'est la vie. Les relations c'est le pognon.


Ma famille ? Je n'ai plus de contact, je ne sais même pas ce qu'ils sont devenus et je m'en tamponne le cul. Comment pourrais-je me soucier de personne qui ont voulu m'étouffer, m'écraser, me mouler à leur envie ? J'y ai survécu, j'ai su m'y échapper, il n'est pas question d'y retourner. Et tant pis si j'habite dans un taudis, tant pis si mes repas ne sont pas normalement constitués, car j'ai un job qui me permet de briller, je suis un homme qui sera propulsé au rang de célébrité j'en suis sûr. Mes relations feront de moi l'homme célèbre qui me permettra de vivre cette vie de bourge, consommant plus qu'au besoin. Celui qui sera ma deuxième moitié pourra m'entretenir, je n'aurais plus besoin de travailler et qu'importe que ce soit un homme ou une femme. Je ne sais pas ce qui m'intéresse, tout ce que je sais, c'est que du moment que le porte-feuille est là alors qu'importe le sexe, tout est bon à prendre. Les amants seront là pour combler le manque.


Plus de détail:
► Il est très pudique.
► Il porte facilement des chaussures à talons, seule vestige de son passé qu'il accepte.
► Sa garde robe est composée en deux parties: les vêtements confortables pour l'appartement et ceux pour sortir. Évidemment dans la deuxième catégorie on ne trouvera que de la marque: Chanel, Gucci, Dolce&Gabana, Kenzo et j'en passe.
► Il ne supporte pas prendre les transports en commun. Même prendre un taxi se révèle être complexe.
► C'est un grand lecteur. Il aime flâner quand il a du temps dans les librairies.
► La première chose qu'il fait en se levant est de boire un grand verre de lait.
► Izumi n'a peur de rien, trahir ses amis ne sera pas un obstacle car il sait que dans ce milieu personne ne se fait de cadeau. Un jour nous sommes les meilleurs amis du monde, mais le lendemain, lorsqu'il s'agit de déterminer qui sera le petit ami de l'héritière du plus gros groupe commercial du Japon, il n'y a plus d'amitié qui compte. Tout le monde s'utilise et il en fais de même. "Après tous n'est-ce pas la première règle du jeu ? N'avoir confiance qu'en soit ? Ici il n'y a pas d'amitié, juste des pactes d'entente cordiale lorsque notre ennemi est commun" dixit Izumi.



Mon joueur ...


piou, je suis venue ici dans le but de me détendre et puis faut bien des membres sur les nouveaux forums aussi :p

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MessageSujet: Re: Présa I Love Tokio   Présa I Love Tokio EmptyMar 7 Mai - 2:16

Lucas Meredith:

Lucas Meredith


Mes parents m'ont appelé(e) Lucas Meredith mais mes proches me nomment Mere. Je suis né(e) un 18 janvier 1985 à Londres, je suis donc d'origine aglaise. Je suis hétérosexuel et suis fiancée. Je travaille comme directrice de la branche japonaise de la société ... Lucas à Tokyo. On me dit souvent que je ressemble à Emily Blunt.

Mon histoire


Tokyo, capitale du Japon, environ 128 million d'habitants. Une ville où les néons ne s'éteignent jamais, une ruche vivante de jour comme de nuit. C'est la nouvelle coqueluche des étrangers. Un phénomène de mode. Tout le monde rêve de se l'offrir et quand on y est, on se croit au paradis. Nos amis nous envient et attendent avec impatience nos photos souvenir. Quant à moi, rien d'autre qu'une grimace ne s'installe sur mon visage. Je hais ce pays. Ou plutôt disons que je n'y ai jamais porté un quelconque intérêt jusqu'à ce que mon père m'y envoie. Cette capitale est mon cauchemar.
Comparée à d'autre, j'ai eu de la chance pour ma naissance. Je suis née au bonne endroit, dans une famille riche ainsi j'ai toujours été à l'abris du besoin. Et si je voyais plus souvent ma nourrice que mes parents, je ne m'en suis jamais plainte. En faite, ma vie fut une vie d'une riche Londonienne qui alternait entre cours, shopping, sorties entre amis et soirées bien arrosées. Quant à mon avenir je ne m'en suis jamais posée la question, je savais déjà par avance que je finirais par travailler dans l'entreprise familiale, mais j'étais loin de m'imaginer que j'allais finir là où j'en suis aujourd'hui.
Le temps passa sans rien d'extraordinaire. Les choses se déroulaient sans encombre, mais les soirées se firent de moins en moins souvent. On s'assagit avec le temps, mais surtout, j'ai fini par me lasser de tout ce luxe. J'avais beau dépenser des fortunes, mon compte bancaire ne semblait pas vouloir descendre. Chacun de mes caprices pouvaient être exaucés, je n'avais qu'à claquer des doigts et tout m'arrivait sur un plateau d'or. Croyez-moi, à la longue cela en devient fatiguant.
Si au départ j'étais une riches exubérante, j'ai fini par m'effacer dans la population bourgeoise, me contentant de m'offrir de temps à autre de nouveau vêtement de luxe.



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Parlez nous un peu de vous, votre pseudo/prénom, âge peut-être. Votre degrez d'activité, pourquoi être venu sur le forum. Bref, vous parlez de ce que vous voulez

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